Rem 1. Dans ces emplois, cela est synon. de ceci et le remplace de plus en plus dans la lang. parlée, très souvent sous la forme abrégée ça.2. Parfois dans la lang. écrite, cela est, cela sont deviennent c'est là, ce sont là: Que des floraisons courent en girandoles et en espaliers : c'est là un luxe ordinaire et presque facile (Mallarmé, La Dernière mode, 1874, p. 799).
alpha H artiste Herbert Pagani titre La bonne franquette Les paroles de la chanson La bonne franquette »Herbert Pagani {Parlé}Milan, Londres, Amsterdam, rationnement d’essenceLes dames du macadam s’hibernent le dimancheEt pour les autoroutes c’est l’aube du silenceMais dans ma vieille Europe couleur d’austéritéOù le steak se fait cher et la monnaie plus rareLes amoureux découvrent leurs guitares,Leur femme, Leurs trottoirs, et leurs voisinsRichesses oubliées au jour de l’abondanceEt moi j’ai réveillé du lit de ma mémoireLes noms de mes amis, les bruits de la conscienceCes années de la rage, ces heures de l’amourQue je vous chante en rime et sans décor autourRien d’autre que ces plages ou tout espoir commenceCes plages oubliées dans le délire des sensLes plages de silence!{Chanté}Allez! chérie! sors tous les verresLe vieux Chianti, les boites de bièreLa grande soupière et le salamiOn verra pas passer la nuitCe soir on fête l’anniversaireDe Marie-France et de Jean-PierreÇa fait trois ans qu’ils sont mariésChérie, passe-moi ton tablierY aura Françoise et puis MonetteY a même des fleurs et un gâteauAlbert apporte les chandellesY aura Philippe à la sortie de l’opéraQui viendra nous faire des photosLes voilà! les voilà! c’est vous! quelle merveille!Par ici les manteaux, par là les bouteillesLes amis, des amis, sont tous des amisPlus on est de fous, ah! ah! plus on ritUn pique nique en hiver sur une moquetteC’est la faim, c’est la joie, la bonne franquetteEt ça fume et ça boit, ça chante et ça ritJe peux vivre sans pain mais pas sans amis!Y a du mousseux qui coule à flotsÇa tangue comme sur un bateauDans l’atmosphère vaguement cosaquePhilippe recharge son KodakChérie, descends chez les voisinsVa leur offrir un verre de vinS’ils n’ont pas peur de la javaDis-leur qu’ils montent en pyjamaBravo! quel arbre de NoëlY a des lumières plein le gâteauJean Pierre souffle les chandellesMaintenant Philippe laisse tomber la caméraChante nous les Noces de FigaroLes voilà! les voilà! c’est vous! quelle merveille!Par ici les manteaux, par là les bouteillesLes voisins sont montés en chemise de nuitOn les applaudit, ce sont des amisUn pique nique en hiver sur une moquetteC’est la faim, c’est la joie, la bonne franquetteEt ça fume et ça boit, ça chante et ça ritJe peux vivre sans pain mais pas sans amis...Il est trois heures après minuitSalut Jacquot, salue JulieBises à Toni, bises à GermaineAllez Gilbert à la prochaineAu revoir, au revoir, c’était vraiment chouetteDe vous avoir tous ici à la bonne franquetteDites au fait, vendredi prochain ça vous dit?Je peux vivre sans pain mais pas sans amis...la la la la la la la la la........
Plusça pique, plus c'est bon!! Tjy&myka-L en showcase LA LADIES CARIBBEAN VENDREDI 7 Juillet de 23h à l'aube T-JY et MYKA-L en Showcase exclusif Leurs
Ils étaient une soixantaine, le dimanche soir qui a suivi l'explosion, dans les locaux du syndicat Sud service public; essentiellement des syndicalistes et des membres du réseau antimondialisation. Passé le week-end à nettoyer chez les copains, on s'est dit qu'on ne pouvait pas rester comme ça », se souvient Marcel Leroux, un ingénieur du centre d'étude de la navigation aérienne qui, ce soir-là, a bien dû revenir à des considérations plus terre à terre. Une question se pose alors. Faut-il rameuter les bonnes volontés pour aller aider sur le terrain? Ou faut-il faire pression sur les pouvoirs publics pour qu'une telle catastrophe ne se reproduise pas? Une majorité se dégage pour la deuxième solution. L'idée est de dire à un moment, il faut une réponse collective sur la ville. On ne peut pas accepter qu'il n'y ait pas de réflexion de fond sur un site comme ça. » Deux jours après, personnes reprennent en choeur un refrain désormais célèbre, Plus jamais ça ni ici ni ailleurs ». Ce qui devait être un simple rassemblement place du Capitole se transforme en longue manifestation jusqu'à la préfecture. Le collectif est en marche. Les commissions se mettent en place le jeudi. Un tee-shirt est imprimé montrant une large croix rouge sur l'usine AZF. Et les slogans sont repris de plus belle le samedi par quelque personnes. LES LIBERTAIRES, LES ECOLOS ET LES ASSOCIATIFS Mais en fait, quelles sont vraiment les chevilles ouvrières du collectif? Pour résumer, disons qu'elles représentent trois courants. - Les toto », autrement dit les autonomes à tendance libertaire. Ils viennent du Clandé, le squat de la rue de Queven, ou de Canal sud, une radio associative du quartier Saint-Michel. - Les écolos, avec principalement des membres des Amis de la terre, mais aussi des représentants des Verts. - Et le courant militant traditionnel, avec des syndicalistes auxquels se sont joints les associations de quartiers de Bagatelle, La Faourette, la cité du Parc, Lafourguette, la Reynerie, l'association Azur à Empalot, le collectif Croix-de-Pierre, l'association des sinistrés du 21 - qui est née à Papus mais qui regroupe maintenant des victimes de tous les quartiers 1. Pour tous, les débats de fond succèdent vite à la joyeuse pagaille des premières AG. Quelques bénévoles réunis en commission font état de leurs réflexions devant des militants remontés qui se pressent à chaque fois plus nombreux dans le local du syndicat Sud. Chacun donne alors son avis avant le vote. Car il est clair pour tous qu'à l'extérieur le collectif doit parler d'une seule voix. Personne ne s'exprime au nom du collectif s'il n'a pas l'aval du collectif », a encore rappelé Dominique Gilbon, un représentant de la commission sécurité environnement, lors de l'AG de mercredi dernier. Une organisation un peu lourde mais qui permet au collectif de se positionner comme un véritable contre pouvoir » face aux autorités qui ont une énorme responsabilité dans la catastrophe ». Béatrice 1 Précisons qu'un collectif est en passe d'être créé dans le quartier Rangueil et qu'un autre se prépare au sein de l'hôpital Marchant. Robert Venezia au téléphone Robert vient à peine de se rouler une cigarette que déjà le téléphone sonne. Depuis le 1er octobre, c'est lui qui tient la permanence du collectif Plus jamais ça dans les locaux de l'Union syndicale solidaire. Entre 150 et 200 appels par jour au c'est le pain quotidien de ce militant chevronné qui est né en colère » et qui, là, est encore plus en colère ». Ce qui s'est passé me conforte dans la bagarre que je peux mener depuis très très longtemps. Ce profit permanent qui ne tient pas compte de la vie des gens, c'est pas mon truc. » Et visiblement, ce n'est pas non plus le truc de ceux qui l'appellent. 40 % des appels concerne les procédures à suivre pour porter plainte contre totalFinaElf, indique ainsi Robert. Deuxième chose, ce sont des gens qui veulent adhérer au collectif. Même si on n'est pas encore une association, ils veulent participer d'une manière ou d'une autre. Certains pensent aussi qu'on récolte des frigos, des vêtements; mais ce n'est pas le cas. Nous n'avons pas l'infrastructure pour recueillir tout ça. Je les renvoie sur les associations caritatives. Par contre, il arrive que je fasse marcher le réseau des proches, comme pour cette dame seule avec sa fille de 18 mois qui cherchait un logement. C'est un réflexe de syndicaliste que je défends ainsi. Je n'ai pas envie d'avoir seulement une vision corporatiste de l'action syndicale. Je défends aussi la solidarité avec la société. » Myriam Poux sur le terrain Educatrice spécialisée dans le quartier de La Faourette, Myriam Poux a vécu l'explosion du 21 septembre de l'intérieur. On était en réunion au centre médico-social. On a d'abord amené nos blessés légers à l'hôpital. Ensuite, je suis allée voir les familles que je connaissais. On a essayé d'organiser les aides, de faire venir les pompiers, et on a géré l'agressivité car les gens étaient très en colère. Le samedi après-midi à Bordelongue, beaucoup n'avaient encore vu personne », se souvient avec émotion Myriam. Alors bien sûr elle a adhéré au collectif. Parce qu'elle pense que l'union fait la force ». Parce qu'elle a pas mal d'amis sinistrés » et qu'elle est elle-même sinistrée dans son appartement des Arènes. Parce qu'elle a été choquée ». Parce qu'elle a eu peur ». Parce que la détresse est très très grande dans les quartiers. » Pourtant, Myriam fait partie de ces membres du collectif qu'on ne voit pas beaucoup dans les réunions. Vous comprenez, avec mon travail je baigne toute la journée là dedans. Moi, j'avais besoin d'être sur le terrain et d'aider pour exorciser la peur. Alors, je suis allée à la manif du mardi qui a suivi l'explosion. Mais samedi dernier, j'ai préféré faire un breack. J'avais besoin de me reposer. » Isabelle Ricard à la commission logement Elle a l'air un peu timide assise comme ça sur sa chaise, dos au grand tableau blanc du local du syndicat Sud service public. Mais cette femme de 36 ans, mère de trois enfants, a un sacré caractère. Depuis qu'elle a fondé l'association Droit au logement, à Toulouse en 1993, Isabelle Ricard est passée maître dans l'art d'animer les débats. Alors, elle jongle avec les intervenants, donnant la parole à Jean-Pierre, Dominique, Pascal, Annick... Le tutoiement est de rigueur. Normal, elle connaît déjà presque tout le monde au collectif. Une atmosphère forcément studieuse qui finit par forger des résolutions communes. Déjà avant l'explosion, il y avait un gros problème de logement sur la ville, relève Isabelle qui s'est spontanément proposée pour la commission logement. Cette catastrophe est donc un véritable désastre de ce point de vue là. On va demander l'application de la loi de réquisition de 1945. En ce moment, on travaille sur des pistes juridiques pour contraindre l'état à appliquer cette loi qui fait appel à la notion d'urgence absolue. On démontrera qu'il y a des lieux vacants même si la municipalité ne les a pas dénombrés. Mais de toutes façons, au collectif il y a unanimité sur la possibilité de réquisitionner nous-mêmes si l'Etat ou la mairie ne le font pas. » Agnès Casero, commission juridique Les sinistrés peuvent compter sur les quatre avocates du collectif pour que justice soit faite 1. Parmi elles, Agnès Casero, 46 ans. A Toulouse cette avocate engagée depuis près de 20 ans dans le mouvement associatif, a tout naturellement rejoint le collectif depuis le 21 septembre, elle est saisie par le spectacle d'une ville coupée en deux. Celle qui souffre. Et celle qui semble ignorer la première. La catastrophe a souvent touché les plus pauvres. Toutes les plaintes que j'entends sont des plaintes au sens premier. Des plaintes qui viennent de loin. J'entends chaque fois un cri primal. Avec trois autres avocates, on met en commun notre savoir pour que la ville reprenne tous les dossiers l'urbanisme, la sécurité, la concentration des plus pauvres, l'absence de masques à oxygène, la difficulté pour les locataires de l'Opac à faire réaliser au plus vite les travaux. Agnès Casero est persuadée que le collectif doit être un interlocuteur au niveau des aspects techniques, judiciaires et humains. ». ______ 1. Stella Bisseuil, Agnès Casero, Claire Priollaud, Annie Cohen-Tapia. Gilles Da Ré à la commission action information Gilles Da Ré n'a pas attendu 50 ans pour faire marcher sa fibre militante. Membre du syndicat Sud à France Telecom, on l'a aussi vu sur le terrain aux côtés des copains » d'Agir ensemble contre le chômage ou d'Attac. Alors, deux jours après la catastrophe, c'est tout naturellement qu'il a participé à la première réunion qui a décidé de la manifestation du mardi 25 septembre. Sa mission avec les membres de la commission action information? Faire pression auprès des pouvoirs publics qui ont eu une vraie difficulté à avoir une cohérence dans l'intervention le 21 septembre ». Ils se sont trouvés devant un vide juridique. L'état de catastrophe naturelle déclenche une série de décisions, l'état de guerre aussi. Mais là, rien n'était prévu. Et de fait ils ont été complètement dépourvus. Ce qu'on veut maintenant, c'est que quand il y a un problème on puisse être reçu immédiatement à la préfecture. Ce n'est pas le cas actuellement. Le préfet nous tient le bec dans l'eau. Or, dès le moment où il y a une opacité au niveau de l'information du public, ça laisse la place à toutes les rumeurs; on le voit bien. La stratégie va donc consister à trouver un mode d'action qui nous permette d'avoir des réponses claires. » Marcel Leroux, porte-parole du collectif Bien qu'habitant loin du périmètre d'habitations les plus touchées par la catastrophe, Marcel Leroux, s'est tout de suite senti concerné par ce drame. Son seul but dès le vendredi 21 septembre a été de se rendre utile. Se rendre utile est une vieille habitude pour cet ingénieur de l'aviation civile, militant à Sud. Après avoir retroussé ses manches pour aider ses copains touchés par l'explosion, il a fait partie de ceux qui ont eu l'idée de lancer le collectif. Le dimanche soir on était déjà une cinquantaine ». Le syndicat Sud situé, impasse des Arènes, ouvre presque tous les soirs ses locaux au collectif. Les personnes qui ont participé le mardi suivant la catastrophe à la première manif, nous ont fait chaud au coeur. » Les premiers pas encourageants du collectif suivis de la longue marche suivie par près de personnes samedi dernier, ne font pas perdre de vue à Marcel Leroux que tout reste encore à faire Il faut s'organiser. Notre travail sera très très long ». Frédéric Arrou à la commission quartiers » On s'est rencontré dans la rue le lendemain de l'explosion. Isabelle Richard est venue vers moi; on ne se connaissait pas. J'ai pris un gros feutre dans mon labo photo qui était démoli. On a écrit l'annonce de la réunion, le soir, devant la piscine des Merlettes. Le bureau de tabac nous a fait les photocop gratuitement. On les a placardés un peu partout à Papus. Et c'est comme ça que le soir on s'est retrouvé à 500 ou 600. » Un acte citoyen qui a propulsé un peu malgré lui Frédéric Arrou sur le devant de la scène. Car depuis quelque temps déjà, sa maison est devenue le siège de l'Association des sinistrés du 21 », au 67 allées de Guyenne. Mais le clin d'oeil au film d'Henri-Georges Clouzot ne fait pas rire ce grand cinéphile. Vous savez, on est sans illusion sur les personnes qu'on a en face, des personnes qui n'ont pas de temps pour les sentiments, relève ce père de famille. On sait qu'ils sont armés, équipés, procéduriers, et reconnaître leurs torts n'est pas leur réflexe. » Alors, Frédéric et ses amis ne se contentent pas d'accueillir les sinistrés. Ils collectent aussi les plaintes. 623 ont déjà été déposées au procureur vendredi dernier par l'association. Et ce n'est pas fini, prévient Frédéric. Les assurances ne comptent pas la vétusté et il faut que les gens soient totalement indemnisés. » Le téléphone de l'association Jean-Pierre Bataille de la commission sécurité- environnement Depuis l'explosion, j'ai une colère qui ne m'a pas quitté ». Jean-Pierre Bataille, professeur de génie électrique au lycée Déodat-de-Séverac n'a pas perdu de temps pour l'exprimer sa colère. Le souvenir de l'enquête publique lancée pour l'extension de la SNPE en 97 et les joutes oratoires pleines de morgue et de sentiment de puissance de la part de la direction, la préfecture et la mairie me sont revenues en pleine figure. Pour moi qui étais au courant des problèmes liés au phosgène, j'ai imaginé la catastrophe à côté de laquelle on était passés. Quand j'ai vu les gosses courir dans tous les sens, quand j'ai vu Déodat détruit, j'ai voulu faire quelque chose pour que ça s'arrête. » Engagé dans le collectif de Déodat, Jean-Pierre Bataille représente foyers. Au sein du collectif plus jamais ça », il est membre de la commission sécurité environnement. Je ferai tout pour que ça s'arrête. La donne doit changer avec la prise de responsabilités des citoyens ». Les critiques et les revendications En premier lieu, le collectif Plus jamais ça ni ici ni ailleurs » demande la fermeture du pôle chimique sud de Toulouse, l'élimination des stocks et le paiement des salariés du site chimique. Mais s'il ne faut pas se couper des salariés », le collectif entend néanmoins mettre en évidence la complaisance des autorités vis à vis de la sécurité en interne à l'Onia et vis-à-vis de la gestion de l'urbanisme ». La carence dans l'organisation des secours est également dénoncée, tout comme l'incapacité des autorités à anticiper sur la catastrophe. Qu'est-ce qu'on fait s'il y a une nouvelle explosion? Quinze jours après, on ne le sait toujours pas. Il y a une opacité totale. » Le collectif entend donc mettre les autorités devant ses responsabilités » tout en soulignant qu'il ne faut pas créer de vent de panique dans la population ». Allusion faite au déménagement en cours des produits chimiques d'AZF, un déménagement soi-disant sans danger, mais comment leur faire confiance avec le phosgène tout proche ». Il est donc demandé un contrôle indépendant du site par le collectif » et l'engagement écrit des responsables de structures accueillant du public écoles, hôpitaux... que la sécurité des personnes est assurée dans leur établissement ». Plus généralement, c'est un souci de transparence que le collectif véhicule. Mais il n'oublie pas les sinistrés faisant de l'application de la loi de réquisition de 1945 au profit des sinistrés une de ses revendications fortes. Et que les pouvoirs publics ne comptent pas sur la fatigue des militants. Nous préparons des actions spectaculaires dans les prochains jours et les semaines à venir », prévient Marcel Leroux, un des membres du collectif. B. Vous pouvez joindre le collectif au Plus jamais ça Pas rassurant » Dans La Dépêche du Midi » d'hier, le collectif Plus jamais ça, ni ici, ni ailleurs » avait annoncé son intention d'interpeller le préfet et de lui remettre une motion demandant que soient stoppées toutes mesures de manipulation ou de transports de matières dangereuses tant que le phosgène n'est pas neutralisé ». Devant la préfecture, des barrières de sécurité attendaient la vingtaine de militants présents. Avec l'assentiment du préfet, trois membres de la délégation ont pu participer à la conférence de presse. Et poser toutes les questions qu'ils souhaitaient sur la sécurité du site chimique. S'ils sont satisfaits de la volonté de transparence du préfet et du directeur de la Drire, les responsables du collectif restent inquiets On n'est pas rassurés. Il n'y a aucune mesure nouvelle de prise. Tout est fait par rapport au produit, pas par rapport à la population, qui est en sursis. Les risques restent intenses dans les quinze jours qui viennent. Le préfet parle beaucoup au futur ». Pique-nique au Parc des biscottes dimanche La commission inter-quartiers du collectif Plus jamais ça », donne deux rendez-vous importants à tous ceux qui le souhaitent. Le premier est fixé au dimanche 7 octobre, dans le Parc des biscottes » dans le quartier Fontaine- Lestang. Il s'agit d'un pique-nique où chacun apportera son repas, ses parasols, ses chaises, sa couverture, sa guitare et sa bonne humeur. Heure du rendez-vous 11 heures. Le deuxième rendez-vous aura lieu lundi matin au Capitole où se déroulera un conseil municipal exceptionnel. La commission inter-quartiers du collectif Plus jamais ça », remettra à l'ensemble du conseil municipal un texte dans lequel elle attire l'attention de la municipalité sur la fermeture prématurée des cellules de soutien dans certains quartiers. » Leur suppression risque de provoquer un sentiment d'abandon ainsi qu'une forte réactivité. La commission juge indispensable que la mairie de Toulouse s'engage dans la durée en maintenant actives ces cellules. » Pour tout renseignement sur les prochaines réunions de la commission inter-quartiers
Frais bon et sympathique. Une institution gastronomique à Portland, ce qui est rare semble-t-il. Le tournus est en général rapide, mais Higgins reste présent. Sans doute que la fraîcheur de ses mets et la finesse de ces vins y sont pour beaucoup. Une adresse à Paroles mais qui es-tu, mais qui es-tu on me trouve dans les bains mais qui es-tu, mais qui es-tu ça vous en bouche un coin un canard tout banal en plastique mais que fais tu, mais que fais-tu ? je surveille avec soins mais que fais tu, mais que fais-tu ? je vérifie dans les coins l’important c’est d’avoir la technique à la brosse, à la main éponge ou gant de crin frottez bien de façon énergique mèches blondes ou châtains mettez-y de l’entrain le savon y’a qu’dans les yeux qu’ça pique la confiture de coing vous trouvez ça malin sur le nez du voisin au pique nique des gens sales je préviens j’en veux plus à la fin sinon ça sert à rien sinon ça sert à rien que j’explique mais qui es-tu, mais qui es-tu on me trouve dans les bains mais qui es-tu, mais qui es-tu j’suis l’ami des bambins un canard tout banal en plastique mais que fais-tu, mais que fais-tu les distraits, les vauriens mais que fais-tu, mais que fais-tu j’les colle au coin coin coin ou je les colle au coin coin l’important c’est que tout l’monde s’applique à la brosse, à la main éponge ou gant de crin frottez bien de façon énergique mèches blondes ou châtains mettez-y de l’entrain le savon y’a qu’dans les yeux qu’ça pique la confiture de coing vous trouvez ça malin sur le nez du voisin au pique nique des gens sales je préviens j’en veux plus à la fin sinon ça sert à rien sinon ça sert à rien que j’explique le premier qui n’est pas lavé qu’il fasse bien attention au propre comme au figuré je lui passe un savon mais qui es-tu, mais qui es-tu sous mes airs batailleurs mais qui es-tu, mais qui es-tu final’ment j’ai bon coeur le bonheur y’a qu’dans les yeux que ça pique le bonheur y’a qu’dans les yeux qu’ça pique à la brosse, à la main éponge ou gant de crin frottez bien de façon énergique mèches blondes ou châtains mettez-y de l’entrain le bonheur c’est dans les yeux qu’ça pique à la brosse, à la main éponge ou gant de crin frottez bien de façon énergique mèches blondes ou châtains mettez-y de l’entrain le bonheur c’est dans les yeux qu’ça pique ça vous en bouche un coin un canard tout banal en plastique ça vous en bouche un coin Francis CABREL, PIERRE BURGAUD BMG RIGHTS MANAGEMENT FRANCE Cest mon choix - La chaîne officielle Recommended for you . Freitag, 29. Plus Sa Pique Plus C'est Bon - [SNiPSIDE] REMIX mp3 Duration 3:08 Size 7.17 MB / Esdéèsッ 5 T-Jy - Qi mp3
Paroles de la chanson Ça Pique par Lynda Lemay Ca faisait ben 3 semaines que tu te grattais Tu te mutilais pis tu saignais du coup On te disait de t'arrêter Mais on savait pas ce que t'avais Puis quelqu'un nous a dit c'est peut être des poux On t'a précipité dans le lavabo On espérait que ce soit des pellicules On t'a enduis d'head and shoulders Du front jusqu'au dos Mais elles sont pas parties les particules On a pris une flashlight avec une loupe On a dit penche ta tête qu'on vérifie C'est la qu'on en a vu allègrement sauter une couple C'est la que la panique nous a pris Y'avait des flocons blancs indélogeables Et des saletés qui sautaient à la corde Tout plein de familles De ce qui pouvait ressembler à des grains de sable Qui te salivaient dessus pis voulaient te mordre C'était soit ou bien on lave ou bien on coupe T'as dis est ce que c'est grave on a dit oui Quand t'as fondu en larme Ton père et moi on a dit oups On a peut être manqué de diplomatie On a checker quoi faire sur internet On a acheté le traitement le plus sure On t'en a mis plein le crane Pour t'assassiner les insectes Qui se faisaient des partouzes dans ta chevelure C'était un après shampoing super puissant C'était écrit de la laisser dix minutes On te l'a laissé un bon vingt juste pour être prudent Quand t'as refondu en larmes on a dit zut Ca t'avait comme un peu amoché le cuir Le fond de ta tête te sentait le brûlé T'aurais du te voir la face après quand tu nous as vu venir Avec le petit mot t'as dis peigne aux dents trop rapprochées Il fallait qu'on démêle et pis qu'on tire Qu'on enlève toutes les lentes pis les corps morts Je t'ai toujours dis que pour être belle ma fille fallait souffrir Mais pour être propre il faut souffrir plus fort On a changé les draps les oreillers On a mis tes peluches dans un grand sac Toutes tes tics et tes caches cou on les a fait congeler On a désinfecté toute la baraque Poux... Le détail qui a échappé à nos méninges C'est qui y'a pas que les enfants qui sont à risque Deux semaines plus tard Ton père et moi on se grattait comme des singes Et toi t'as soupiré maman Ca pique
Onm’a dit plus ça pique plus c’est bon. 07 Aug 2022 Voici la chanson que j'ai choisie Quand la Musique est Bonne Je sais très original Et les paroles d'origine J'ai trop saigné sur les GibsonJ'ai trop rodé dans les Tobacco roadY' a plus qu' les caisses qui me résonnentEt quand j' me casse j'voyage toujours en fraudeDes champs d' coton dans ma mémoireTrois notes de blues c'est un peu d'amour noirQuand j' suis trop court quand j' suis trop tardC'est un recours pour une autre histoire. Quand la musique est bonneQuand la musique donneQuand la musique sonne sonne sonneQuand elle ne triche pas Quand la musique est bonneQuand la musique donneQuand la musique sonne sonne sonneQuand elle guide mes pas J'ai plus d'amour j'ai pas le tempsJ'ai plus d'humour j'sais plus d'où vient le ventJ'ai plus qu'un clou une étincelleDes trucs en plomb qui me brisent les ailesUn peu de swing un peu du KingPas mal de feeling et de décibelsC'est pas l'usine c'est pas la mineMais ça suffit pour se faire la belle Quand la musique est bonneQuand la musique donneQuand la musique sonne sonne sonneQuand elle ne triche pas Quand la musique est bonneQuand la musique donneQuand la musique sonne sonne sonneQuand elle guide mes pas Sonne sonne sonneSonne sonne sonneSonne sonne sonneSonne sonne sonneSonne sonne sonneSonne sonne sonneSonne sonne sonne Quand la musique est bonneQuand la musique donneQuand la musique sonne sonne sonneQuand elle ne triche pas Quand la musique est bonneQuand la musique donneQuand la musique sonne sonne sonneQuand elle guide mes pas Quand la musique est bonneQuand la musique donneQuand la musique sonne sonne sonneQuand elle ne triche pas Quand la musique est bonneQuand la musique donneQuand la musique sonne sonne sonneQuand elle guide mes pas... Et enfin, ma version Hum! Hum ! *se racle la gorge*Quand la Potion est BonneJ'ai trop saigné sur les NargolesJ'ai trop ensorcellé dans les carnagesY' a plus qu'les fées qui me rigoleEt quand j' me casse c'est système transplanageDes champs d'hippogriffes dans ma têteTrois notes de magie on va faire la fêteQuand c'est trop court j'me prend l'cognardMais ça c'est recours pour autre la potion est bonneQuand la magie donneQuand tous les sorts sonnent sonnent sonnentQuand elle ne rate pasQuand la potion est bonneQuand la magie donneQuand tous les sorts sonnent sonnent sonnentQuand elle guide mon brasJ'ai plus d'amour j'ai plus de filtrePlus d'horcruxes, Peeves me les a pris le pitreJ'ai plus qu'un sort, une étincelleExpelliarmus qui me brise les ailesUn peu d'felix un peu de chanceEt pas mal de sorciers et de sorcièresC'est pas Gringotts c'est pas Poud'landTout pour mélanger du beurre, d'la bièreQuand la potion est bonneQuand la magie donneQuand tous les sorts sonnent sonnent sonnentQuand elle ne rate pasQuand la potion est bonneQuand la magie donneQuand tous les sorts sonnent sonnent sonnentQuand elle guide mon brasSonnent sonnent sonnentSonnent sonnent sonnentSonnent sonnent sonnentSonnent sonnent sonnentSonnent sonnent sonnentSonnent sonnent sonnentSonnent sonnent sonnentQuand la potion est bonneQuand la magie donneQuand tous les sorts sonnent sonnent sonnentQuand elle ne rate pasQuand la potion est bonneQuand la magie donneQuand tous les sorts sonnent sonnent sonnentQuand elle guide mon brasQuand la potion est bonneQuand la magie donneQuand tous les sorts sonnent sonnent sonnentQuand elle ne rate pasQuand la potion est bonneQuand la magie donneQuand tous les sorts sonnent sonnent sonnentQuand elle guide mon bras...
#### PLUS CA PIQUE-PLUS C’EST BON !!! Dans la culture viking, les femmes ne portaient pas de. Dans la culture viking, les femmes ne portaient pas de. 19 : son 1er numéro à Madrid 32 : son ancien numéro à Séville 35 : minute de son 1er but avec le Real 90+ : la spéciale Sergio Ramos ⚽ C'est un ensemble de 8 piques qui partent du milieu et forment un cercle.
Jy suis allé un vendredi pour avoir une table à 21h30 le service était un peu long et en plus de ça vers la fin du repas il voulait limite nous virer du restaurant pour la place Ce qui est bien c’est le spectacle, le show donner. Date de la visite : avril 2019. Poser une question à LindaLindoush à propos de La Gioia. 1 Merci LindaLindoush . Cet avis est l'opinion subjective d'un

Queça invente des mythes, s'coller c'est la mode Sniffer c'est banal comme inviter l'ennemi en feat Et c'est pas d'ma faute, si tu t'faisais des films Moi, j'suis obligé de rien frère c'est le bon Dieu qui décide Quand j'te donne j'suis un bon et quand j'dis non j'suis plus dégun C'est donc ça la vie Manny ? Ouais pour de bon, j'fume le

Entrenous, c'est toxiquе, c'est pour ça qu'en levrеtte, c'est magique (J'aime trop) C'est ta vie qui défile en un clic, j'ai même pas b'soin d'ramener les mecs d'ma clique (Nan, nan, nan, nan) Plus c'est bon, plus ça pique, roule un joint, passe au building (Nan) La vie, c'est pas facile, que Dieu fasse qu'mon fils devienne pas flic (Han)
owuFX.
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  • plus ça pique plus c est bon parole