LaPrĂ©sence de JÉSUS c’est la Solution Ă  tout problĂšme (tout est possible Ă  celui qui croit et rien n’est impossible Ă  DIEU) Ta situation doit pourrir comme le cas de Lazare au tombeau pendant quatre jours (oĂč tout le monde t’abandonne) afin que personne ne s’approprie la Gloire de DIEU lors de ta restauration. Tu dois plonger dans le dĂ©sespoir oĂč tu ne dois crier que vers
Avis des lecteurs Questionnaire Votre avis sur la qualitĂ©s des ouvrages publiĂ© par nos soins a de l'importance pour nous ! Nous serons donc tres reconnaissants Ă  elles et ceux qui prendront la peine de remplir le questionnaire ci-aprĂšs Si vous constatez un dĂ©faut de façonnage majeur sur un de nos produits, merci d'en informer immĂ©diatement le service clientĂ©le de la Maison de la Bible Produit CARTE POSTALE "RIEN N'EST IMPOSSIBLE À CELUI QUI CROIT" Vous habitez ... Si vous souhaitez prĂ©ciser ou complĂ©ter votre analyse, vous pouvez le faire dans le cadre ci-aprĂšs. Si vous souhaitez poser une question Ă  notre dĂ©partement Ă©dition ou attendez une rĂ©ponse Ă  l'une de vos remarques, merci d'indiquer votre adresse email. Si vous souhaitez que d'autres lecteurs aient connaissance de votre apprĂ©ciation sur le contenu de l'ouvrage, n'hĂ©sitez pas Ă  ajouter un commentaire Message complĂ©mentaire Votre email Montrer que vous ĂȘtre un humain neuf plus neuf Donnez la rĂ©ponse en chiffre Cest JĂ©sus Ă  qui rien n’est impossible. On a bien vu que l’homme Ă©tait bien faible face Ă  la situation de cet enfant. Et bien souvent l’homme est limitĂ©. L’homme veut ĂȘtre tout puissant et essai d’atteindre cela par divers moyens. Mais la vĂ©ritĂ©, c’est que face Ă  biens des situations, l’homme est bien faible et il a En parcourant l’Écriture... Les images du Ciel dans la Bible 8/8 7 - La Vie bienheureuse - la Vie Ă©ternelle Nous terminons aujourd’hui notre sĂ©rie sur les images du Ciel dans la Bible avec l’appellation vie bienheureuse » ou vie Ă©ternelle». Par ces expressions, nous voyons comment le Ciel viendra combler nos espĂ©rances en s’opposant Ă  la mort vie », au mal et au malheur bienheureuse » et Ă  notre soumission au temps, Ă  notre finitude Ă©ternelle ». Dieu, infiniment Parfait et Bienheureux en Lui-mĂȘme, dans un dessein de pure bontĂ©, a librement créé l’homme pour le faire participer Ă  sa vie bienheureuse. [1]» Ainsi commence le CatĂ©chisme de l’Eglise Catholique ! La vie bienheureuse, c’est donc le but de notre existence, ce vers quoi tend toute notre espĂ©rance
 Et pourtant, nous ne savons pas bien de quoi il s’agit ! Dans son encyclique sur l’espĂ©rance – Spe salvi – BenoĂźt XVI consacre tout une partie intitulĂ©e La vie Ă©ternelle – qu'est-ce que c'est ? ». Voici ce qu’il Ă©crit La foi chrĂ©tienne est-elle pour nous aujourd'hui une espĂ©rance qui transforme et soutient notre vie ? Est-elle pour nous performative » – un message qui forme de maniĂšre nouvelle la vie elle-mĂȘme, ou est-elle dĂ©sormais simplement une information » que, entre temps, nous avons mise de cĂŽtĂ© et qui nous semble dĂ©passĂ©e par des informations plus rĂ©centes? Dans la recherche d'une rĂ©ponse, je voudrais partir de la forme classique du dialogue par lequel le rite du BaptĂȘme exprimait l'accueil du nouveau-nĂ© dans la communautĂ© des croyants et sa renaissance dans le Christ. Le prĂȘtre demandait d'abord quel nom les parents avaient choisi pour l'enfant, et il poursuivait ensuite par la question Que demandez-vous Ă  l'Église? » RĂ©ponse La foi ». Et que donne la foi ? » La vie Ă©ternelle ». Dans le dialogue, les parents cherchaient pour leur enfant l'accĂšs Ă  la foi, la communion avec les croyants, parce qu'ils voyaient dans la foi la clĂ© de la vie Ă©ternelle ». En fait, aujourd'hui comme hier, c'est de cela qu’il s'agit dans le BaptĂȘme, quand on devient chrĂ©tien non pas seulement d'un acte de socialisation dans la communautĂ©, non pas simplement d'un accueil dans l'Église. Les parents attendent plus pour le baptisĂ© ils attendent que la foi, dont fait partie la corporĂ©itĂ© de l'Église et de ses sacrements, lui donne la vie – la vie Ă©ternelle. La foi est la substance de l'espĂ©rance. Mais alors se fait jour la question suivante voulons-nous vraiment cela – vivre Ă©ternellement ? Peut-ĂȘtre aujourd'hui de nombreuses personnes refusent-elles la foi simplement parce que la vie Ă©ternelle ne leur semble pas quelque chose de dĂ©sirable. Ils ne veulent nullement la vie Ă©ternelle, mais la vie prĂ©sente, et la foi en la vie Ă©ternelle semble, dans ce but, plutĂŽt un obstacle. Continuer Ă  vivre Ă©ternellement – sans fin – apparaĂźt plus comme une condamnation que comme un don. Bien sĂ»r, on voudrait renvoyer la mort le plus loin possible. Mais vivre toujours, sans fin – en dĂ©finitive, cela peut ĂȘtre seulement ennuyeux et en fin de compte insupportable. C'est prĂ©cisĂ©ment cela que dit par exemple saint Ambroise, PĂšre de l'Église, dans le discours funĂšbre pour son frĂšre Saturus La mort n'Ă©tait pas naturelle, mais elle l'est devenue ; car, au commencement, Dieu n'a pas créé la mort ; il nous l'a donnĂ©e comme un remĂšde [...] Ă  cause de la transgression ; la vie des hommes commença Ă  ĂȘtre misĂ©rable dans le travail quotidien et dans des pleurs insupportables. Il fallait mettre un terme Ă  son malheur, afin que sa mort lui rende ce que sa vie avait perdu. L'immortalitĂ© serait un fardeau plutĂŽt qu'un profit, sans le souffle de la grĂące ». Auparavant dĂ©jĂ , Ambroise avait dit La mort ne doit pas ĂȘtre pleurĂ©e, puisqu'elle est cause de salut ». Quel que soit ce que saint Ambroise entendait dire prĂ©cisĂ©ment par ces paroles – il est vrai que l'Ă©limination de la mort ou mĂȘme son renvoi presque illimitĂ© mettrait la terre et l'humanitĂ© dans une condition impossible et ne serait mĂȘme pas un bĂ©nĂ©fice pour l'individu lui-mĂȘme. Il y a clairement une contradiction dans notre attitude, qui renvoie Ă  une contradiction intĂ©rieure de notre existence elle-mĂȘme. D'une part, nous ne voulons pas mourir ; surtout celui qui nous aime ne veut pas que nous mourions. D'autre part, il est vrai que nous ne dĂ©sirons pas non plus continuer Ă  exister de maniĂšre illimitĂ©e et mĂȘme la terre n'a pas Ă©tĂ© créée dans cette perspective. Alors, que voulons-nous vraiment ? Ce paradoxe de notre propre attitude suscite une question plus profonde qu'est-ce en rĂ©alitĂ© que la vie » ? Et que signifie vĂ©ritablement Ă©ternitĂ© » ? Il y a des moments oĂč nous le percevons tout Ă  coup oui, ce serait prĂ©cisĂ©ment cela – la vraie vie » – ainsi devrait-elle ĂȘtre. Par comparaison, ce que, dans la vie quotidienne, nous appelons vie », en vĂ©ritĂ© ne l'est pas. Dans sa longue lettre sur la priĂšre adressĂ©e Ă  Proba, une veuve romaine aisĂ©e et mĂšre de trois consuls, Augustin Ă©crivit un jour dans le fond, nous voulons une seule chose – la vie bienheureuse », la vie qui est simplement vie, simplement bonheur ». En fin de compte, nous ne demandons rien d'autre dans la priĂšre. Nous ne marchons vers rien d'autre – c'est de cela seulement qu’il s'agit. Mais ensuite, Augustin ajoute aussi en regardant mieux, nous ne savons pas de fait ce qu'en dĂ©finitive nous dĂ©sirons, ce que nous voudrions prĂ©cisĂ©ment. Nous ne connaissons pas du tout cette rĂ©alitĂ© ; mĂȘme durant les moments oĂč nous pensons pouvoir la toucher, nous ne la rejoignons pas vraiment. Nous ne savons pas ce que nous devons demander », confesse-t-il avec les mots de saint Paul Rm 8, 26. Nous savons seulement que ce n'est pas cela. Toutefois, dans notre non-savoir, nous savons que cette rĂ©alitĂ© doit exister. Il y a donc en nous, pour ainsi dire, une savante ignorance docta ignorantia », Ă©crit-il. Nous ne savons pas ce que nous voudrions vraiment ; nous ne connaissons pas cette vraie vie »; et cependant, nous savons qu'il doit exister un quelque chose que nous ne connaissons pas et vers lequel nous nous sentons poussĂ©s. Je pense qu'Augustin dĂ©crivait lĂ  de maniĂšre trĂšs prĂ©cise et toujours valable la situation essentielle de l'homme, la situation d'oĂč proviennent toutes ses contradictions et toutes ses espĂ©rances. Nous dĂ©sirons en quelque sorte la vie elle-mĂȘme, la vraie vie, qui ne finisse pas par ĂȘtre atteinte par la mort ; mais, en mĂȘme temps, nous ne connaissons pas ce vers quoi nous nous sentons poussĂ©s. Nous ne pouvons pas cesser de nous diriger vers cela et cependant nous savons que tout ce que nous pouvons expĂ©rimenter ou rĂ©aliser n'est pas ce Ă  quoi nous aspirons. Cette chose » inconnue est la vĂ©ritable espĂ©rance », qui nous pousse et le fait qu'elle soit ignorĂ©e est, en mĂȘme temps, la cause de toutes les dĂ©sespĂ©rances comme aussi de tous les Ă©lans positifs ou destructeurs vers le monde authentique et vers l'homme authentique. L'expression vie Ă©ternelle » cherche Ă  donner un nom Ă  cette rĂ©alitĂ© connue inconnue. Il s'agit nĂ©cessairement d'une expression insuffisante, qui crĂ©e la confusion. En effet, Ă©ternel » suscite en nous l'idĂ©e de l'interminable, et cela nous fait peur ; vie » nous fait penser Ă  la vie que nous connaissons, que nous aimons et que nous ne voulons pas perdre et qui est cependant, en mĂȘme temps, plus faite de fatigue que de satisfaction, de sorte que, tandis que d'un cĂŽtĂ© nous la dĂ©sirons, de l'autre nous ne la voulons pas. Nous pouvons seulement chercher Ă  sortir par la pensĂ©e de la temporalitĂ© dont nous sommes prisonniers et en quelque sorte prĂ©voir que l'Ă©ternitĂ© n'est pas une succession continue des jours du calendrier, mais quelque chose comme le moment rempli de satisfaction, dans lequel la totalitĂ© nous embrasse et dans lequel nous embrassons la totalitĂ©. Il s'agirait du moment de l'immersion dans l'ocĂ©an de l'amour infini, dans lequel le temps – l'avant et l'aprĂšs – n'existe plus. Nous pouvons seulement chercher Ă  penser que ce moment est la vie au sens plĂ©nier, une immersion toujours nouvelle dans l'immensitĂ© de l'ĂȘtre, tandis que nous sommes simplement comblĂ©s de joie. C'est ainsi que JĂ©sus l'exprime dans Jean Je vous reverrai, et votre cƓur se rĂ©jouira ; et votre joie, personne ne vous l'enlĂšvera » 16, 22. Nous devons penser dans ce sens si nous voulons comprendre ce vers quoi tend l'espĂ©rance chrĂ©tienne, ce que nous attendons par la foi, par notre ĂȘtre avec le Christ. [2]» En dĂ©sirant la vie Ă©ternelle, la vie bienheureuse, nous sentons encore une fois combien la mort nous est Ă©trangĂšre et combien le mal est un scandale
 Face Ă  cela, rappelons ce que dit le CatĂ©chisme de l’Eglise Catholique Si Dieu le PĂšre Tout-puissant, CrĂ©ateur du monde ordonnĂ© et bon, prend soin de toutes ses crĂ©atures, pourquoi le mal existe-t-il ? A cette question aussi pressante qu’inĂ©vitable, aussi douloureuse que mystĂ©rieuse, aucune rĂ©ponse rapide ne saura suffire. C’est l’ensemble de la foi chrĂ©tienne qui constitue la rĂ©ponse Ă  cette question la bontĂ© de la crĂ©ation, le drame du pĂ©chĂ©, l’amour patient de Dieu qui vient au devant de l’homme par ses alliances, par l’Incarnation rĂ©demptrice de son Fils, par le don de l’Esprit, par le rassemblement de l’Église, par la force des sacrements, par l’appel Ă  une vie bienheureuse Ă  laquelle les crĂ©atures libres sont invitĂ©es d’avance Ă  consentir, mais Ă  laquelle elles peuvent aussi d’avance, par un mystĂšre terrible, se dĂ©rober. Il n’y a pas un trait du message chrĂ©tien qui ne soit pour une part une rĂ©ponse Ă  la question du mal. Mais pourquoi Dieu n’a-t-il pas créé un monde aussi parfait qu’aucun mal ne puisse y exister ? Selon sa puissance infinie, Dieu pourrait toujours crĂ©er quelque chose de meilleur cf. S. Thomas d’A. Cependant dans sa sagesse et sa bontĂ© infinies, Dieu a voulu librement crĂ©er un monde " en Ă©tat de voie " vers sa perfection ultime. [
] Les anges et les hommes, crĂ©atures intelligentes et libres, doivent cheminer vers leur destinĂ©e ultime par choix libre et amour de prĂ©fĂ©rence. Ils peuvent donc se dĂ©voyer. En fait, ils ont pĂ©chĂ©. C’est ainsi que le mal moral est entrĂ© dans le monde, sans commune mesure plus grave que le mal physique. Dieu n’est en aucune façon, ni directement ni indirectement, la cause du mal moral cf. S. Augustin ; S. Thomas d’A.. Il le permet cependant, respectant la libertĂ© de sa crĂ©ature, et, mystĂ©rieusement, il sait en tirer le bien [3]» En face de nos limites, de notre peur de l’inconnu quand la mort vient, il y a l'espĂ©rance de la vie Ă©ternelle fondĂ©e rĂ©ellement dans la mort et la rĂ©surrection du Christ. "Je suis ressuscitĂ© et Ă  prĂ©sent je suis toujours avec toi", nous dit le Seigneur, et ma main te soutient. OĂč que tu puisses tomber, tu tomberas entre mes mains et je serai prĂ©sent jusqu'Ă  la porte de la mort. LĂ  oĂč personne ne peut plus t'accompagner et oĂč tu ne peux rien emporter, c'est lĂ  que je t'attends pour transformer pour toi les tĂ©nĂšbres en lumiĂšre. [4]» Une fois de plus nous est rappelĂ© que c’est par JĂ©sus que nous obtenons la vie Ă©ternelle. Commentant le passage du discours du Pain de vie Jn 6, et la rĂ©action de Saint Pierre en opposition Ă  celle de ceux qui ne comprennent pas et se dĂ©tournent de JĂ©sus, scandalisĂ©s, Saint Augustin Ă©crit Voyez comment Pierre, par grĂące de Dieu, par inspiration de l’Esprit Saint, a compris ? Pourquoi a-t-il compris ? Parce qu’il a cru. Tu as les paroles de la vie Ă©ternelle. Tu nous donnes la vie Ă©ternelle en nous offrant ton corps [ressuscitĂ©] et ton sang, [toi-mĂȘme]. Et nous avons cru et connu. Il ne dit pas nous avons connu et puis cru, mais nous avons cru et puis connu. Nous avons cru pour pouvoir connaĂźtre ; si, en effet, nous avions voulu connaĂźtre avant de croire, nous n’aurions rĂ©ussi ni Ă  connaĂźtre, ni Ă  croire. Qu’est-ce que nous avons cru et qu’est-ce que nous avons connu ? Que tu es le Christ Fils de Dieu, c’est-Ă -dire que tu es la vie Ă©ternelle mĂȘme, et dans la chair et le sang, tu nous donnes ce que tu es toi-mĂȘme. [5]» Dans ce discours sur le Pain de Vie est trĂšs clairement manifestĂ© le rĂŽle de l’Eucharistie comme vecteur de Vie Ă©ternelle. Dans son encyclique Ecclesia de Eucharistia, Jean-Paul II disait Celui qui se nourrit du Christ dans l'Eucharistie n'a pas besoin d'attendre l'au-delĂ  pour recevoir la vie Ă©ternelle il la possĂšde dĂ©jĂ  sur terre, comme prĂ©mices de la plĂ©nitude Ă  venir, qui concernera l'homme dans sa totalitĂ©. Dans l'Eucharistie en effet, nous recevons Ă©galement la garantie de la rĂ©surrection des corps Ă  la fin des temps Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie Ă©ternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour » Jn 6, 54. Cette garantie de la rĂ©surrection Ă  venir vient du fait que la chair du Fils de l'homme, donnĂ©e en nourriture, est son corps dans son Ă©tat glorieux de RessuscitĂ©. Avec l'Eucharistie, on assimile pour ainsi dire le secret » de la rĂ©surrection. C'est pourquoi saint Ignace d'Antioche dĂ©finit avec justesse le Pain eucharistique comme remĂšde d'immortalitĂ©, antidote pour ne pas mourir’. [6]» Et nous ? Que devons-nous faire pour avoir la vie Ă©ternelle ? Ecoutons d’abord l’évangile ! Et voici que quelqu’un s’approcha de JĂ©sus et lui dit MaĂźtre, que dois-je faire de bon pour avoir la vie Ă©ternelle ? » JĂ©sus lui dit Pourquoi m’interroges-tu sur ce qui est bon ? Celui qui est bon, c’est Dieu, et lui seul ! Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements. » Il lui dit Lesquels ? » JĂ©sus reprit Tu ne commettras pas de meurtre. Tu ne commettras pas d’adultĂšre. Tu ne commettras pas de vol. Tu ne porteras pas de faux tĂ©moignage. Honore ton pĂšre et ta mĂšre. Et aussi Tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme. » Mt 19, 16-19. JĂ©sus rappelle donc que, pour avoir la vie Ă©ternelle, il faut observer les commandements
 L’évangile Amen, amen, je vous le dis il a la vie Ă©ternelle, celui qui croit. » Jn 6, 47 et le CatĂ©chisme de l’Eglise Catholique insistent Ă©galement sur l’exigence de la foi Croire en JĂ©sus-Christ et en Celui qui l’a envoyĂ© pour notre salut est nĂ©cessaire pour obtenir ce salut cf. Mc 16, 16 ; Jn 3, 36
. " Parce que sans la foi ... il est impossible de plaire Ă  Dieu’ He 11, 6 et d’arriver Ă  partager la condition de ses fils, personne jamais ne se trouve justifiĂ© sans elle et personne Ă  moins qu’il n’ait persĂ©vĂ©rĂ© en elle jusqu’à la fin’ Mt 10, 22 ; 24, 13, n’obtiendra la vie Ă©ternelle " [7]». Et plus loin La foi nous fait goĂ»ter comme Ă  l’avance, la joie et la lumiĂšre de la vision bĂ©atifique, but de notre cheminement ici-bas. Nous verrons alors Dieu " face Ă  face " 1 Co 13, 12, " tel qu’Il est " 1 Jn 3, 2. La foi est donc dĂ©jĂ  le commencement de la vie Ă©ternelle Tandis que dĂšs maintenant nous contemplons les bĂ©nĂ©dictions de la foi, comme un reflet dans un miroir, c’est comme si nous possĂ©dions dĂ©jĂ  les choses merveilleuses dont notre foi nous assure qu’un jour nous en jouirons S. Basile ; cf. S. Thomas d’A.. » Et nous ne pouvons pas nous contenter d’avoir nous-mĂȘmes la foi, nous devons la propager, en tĂ©moigner car, comme le rappelle BenoĂźt XVI L'espĂ©rance chrĂ©tienne n'est toutefois jamais seulement individuelle, elle est toujours aussi espĂ©rance pour les autres. Nos existences sont profondĂ©ment liĂ©es les unes aux autres et le bien et le mal que chacun accomplit touche toujours aussi les autres.[8]». Et Jean-Paul Ier, s’adressant Ă  des Ă©vĂȘques, disait Parmi les droits de la foi, l'un des plus grands est celui de recevoir la parole de Dieu dans toute sa plĂ©nitude, dans toute sa puretĂ©, avec toutes ses exigences et toutes ses facultĂ©s. Un des grands devoirs de nos jours est la pleine Ă©vangĂ©lisation de tous ceux qui ont reçu le baptĂȘme. En ceci, les EvĂȘques de l'Eglise sont les premiers responsables. Notre message doit ĂȘtre une claire proclamation du salut en JĂ©sus-Christ. Avec Pierre, nous devons dire au Christ, en prĂ©sence de notre peuple "Tu as les paroles de la vie Ă©ternelle" Jn 6, 68. Pour nous, l'Ă©vangĂ©lisation comporte un enseignement explicite au sujet du nom de JĂ©sus, de son identitĂ©, de son enseignement, de son Royaume et de ses promesses. Et la principale de ses promesses est la vie Ă©ternelle. JĂ©sus a vraiment des paroles qui nous conduisent Ă  la vie Ă©ternelle. [9]» En considĂ©rant les biens illimitĂ©s qui nous attendent, le Pape Jean-Paul Ier exhortait encore Dieu est un bien infini et il sera notre fĂ©licitĂ© Ă©ternelle l'argent, les plaisirs, les succĂšs de ce monde, comparĂ©s Ă  Lui, sont Ă  peine, des fragments de bien, de fugaces moments de bonheur. Il ne serait pas sage de donner beaucoup de nous Ă  ces choses et peu de nous Ă  JĂ©sus. [10]» La vie Ă©ternelle nous est accordĂ© comme hĂ©ritage en tant que nous devenons fils de Dieu » par adoption. Et cette adoption se produit, dans le Christ, Ă  travers les sacrements L’Église affirme que pour les croyants les sacrements de la Nouvelle Alliance sont nĂ©cessaires au salut cf. Cc. Trente. La " grĂące sacramentelle " est la grĂące de l’Esprit Saint donnĂ©e par le Christ et propre Ă  chaque sacrement. L’Esprit guĂ©rit et transforme ceux qui le reçoivent en les conformant au Fils de Dieu. Le fruit de la vie sacramentelle, c’est que l’Esprit d’adoption dĂ©ifie cf. 2 P 1, 4 les fidĂšles en les unissant vitalement au Fils unique, le Sauveur. [11]». Et parmi les sacrements, rappelons tout particuliĂšrement la place centrale de l’Eucharistie comme Pain de vie » cf. ci-dessus ! Obtenir la vie Ă©ternelle, pour soi et pour beaucoup d’ñmes, c’est aussi le but - et la rĂ©compense promise par JĂ©sus - de toute vie consacrĂ©e ! Ecoutons encore l’Évangile Alors Pierre prit la parole et dit Ă  JĂ©sus Voici que nous avons tout quittĂ© pour te suivre quelle sera donc notre part ? » JĂ©sus leur dĂ©clara Amen, je vous le dis lors du renouvellement du monde, lorsque le Fils de l’homme siĂ©gera sur son trĂŽne de gloire, vous qui m’avez suivi, vous siĂ©gerez vous aussi sur douze trĂŽnes pour juger les douze tribus d’IsraĂ«l. Et celui qui aura quittĂ©, Ă  cause de mon nom, des maisons, des frĂšres, des sƓurs, un pĂšre, une mĂšre, des enfants, ou une terre, recevra le centuple, et il aura en hĂ©ritage la vie Ă©ternelle.» Mt 19, 27-29. Que ceux qui sont appelĂ©s par JĂ©sus soit donc gĂ©nĂ©reux pour rĂ©pondre Ă  son Appel en Ă©change, JĂ©sus donne tout ! Et enfin, nous ne devons pas craindre les souffrances inhĂ©rentes Ă  toute vie humaine si nous savons y reconnaĂźtre la Croix que JĂ©sus nous tend et unir nos souffrances aux siennes, elles peuvent devenir des tremplins vers la vie Ă©ternelle Tous les amis de JĂ©sus sont des amis vouĂ©s Ă  la Croix. L’amour crucifie, l’Amour unit au Dieu vivant. La Croix c’est l’Amour ; l’Amour, c’est la Croix. La Croix, l’Amour, c’est la vie Ă©ternelle ! [12]» disait MĂšre Marie-Augusta ! Alors, en avant, vers la Vie Ă©ternelle ! [hr] [1] CatĂ©chisme de l’Eglise Catholique n°1 [2] BenoĂźt XVI – Encyclique Spe Salvi 2007 – n°10-12 [3] CatĂ©chisme de l’Eglise Catholique n°309-311 [4] BenoĂźt XVI – AngĂ©lus du 2 novembre 2008 [5] Saint Augustin - Commentaire sur l’Évangile de Saint Jean, 27, 9 [6] Jean-Paul II – encyclique Ecclesia de Eucharistia 2003 n°18 [7] CatĂ©chisme de l’Eglise Catholique n°161 [8] BenoĂźt XVI – AngĂ©lus du 2 novembre 2008 [9] Jean-Paul Ier – Discours aux Ă©vĂȘques de Philippines en visite Ad limina, 28 septembre 1978 [10] Jean-Paul 1er - Audience gĂ©nĂ©rale du 27 septembre 1978 [11] CatĂ©chisme de l’Eglise Catholique n°1129 [12] MĂšre Marie-Augusta Domini [hr] Dans la mĂȘme sĂ©rie Introduction Au Ciel, mon unique Patrie
 1- le Paradis Au vainqueur, je donnerai de goĂ»ter Ă  l’arbre de la vie qui est dans le paradis de Dieu 2 - le Ciel Dieu nous a ressuscitĂ©s et fait asseoir aux cieux, dans le Christ JĂ©sus. 3 - Le Royaume des Cieux Convertissez-vous, car le royaume des Cieux est tout proche ! 4 - La Maison du PĂšre Dans la Maison de mon PĂšre, il y a de nombreuses demeures
 5 - La CitĂ© Sainte, la JĂ©rusalem cĂ©leste Je vis la CitĂ© Sainte, la JĂ©rusalem Nouvelle 6 - Le festin des Noces Heureux les invitĂ©s au festin des Noces de l’Agneau ! 7 - La vie Ă©ternelle Amen, amen, je vous le dis il a la vie Ă©ternelle, celui qui croit.
Toutest possible Ă  celui qui croit ! "Tout est possible Ă  celui qui croit. C’est la loi de la foiLe tout-puissant dit Ă  son enfant : "Si tu crois, tu verras" Les paroles de ce cantique sont particuliĂšrement Ă  propos pour cette pensĂ©e. JĂ©sus lui dit : "Si tu peux ! Tout est“ possible Ă  celui qui croit." Marc 9.23
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