Uneprofonde obscurité a plané, dès l’origine, sur l’aventure d’amour dont les Lettres portugaises nous ont conservé le souvenir. Lorsque ces lettres parurent, au nombre de cinq, en 1669, on ne savait ni qui les avait écrites, ni qui les avait reçues. Et pourtant les deux personnages de ce drame intime étaient vivans encore, et
Lorsque votre cœur est plein d’amour pour la femme de votre vie et que ce sentiment précieux est trop grand pour être prononcé, laissez vos pensées les plus profondes être entendues à travers une lettre d’amour pour elle. Une lettre d’amour lui fera surement plaisir, c’est un beau geste que chaque amoureux devra essayer. Vous pouvez montrer tout votre amour pour la reine de votre vie en lui envoyant une lettre d’amour. Voici quelques lettres d’amour touchantes auxquelles vous pouvez vous en inspirer. Tu a illuminer ma vie – lettre d’amour pour une femme Ma chérie, Ma vie est belle à cause de toi mon amour et ma charmante dame. Tu es entré dans ma vie comme une bougie dans le noir. Tu m’as montré la signification de l’amour non pas avec les mots, mais avec ton dévouement à notre relation et ta grande générosité. Je sais que ta nature timide ne te laisse pas tout exprimer; mais tes yeux parlent de l’amour que tu as pour moi. Je t’aime beaucoup. Ton chéri Je ne te quitterai jamais Ma chérie, C’est un jour comme aujourd’hui que nous nous sommes fait une promesse. Nous avons fait le vœu d’être là l’un pour l’autre dans les moments les plus difficiles comme pour les jours les plus joyeux. Je te regarde et je sais que c’était quelque chose que nous étions destinés à faire, nous étions censés être ensemble. Le temps a passé si vite et il nous a fait voir à quel point notre amour est si fort. Nous étions deux âmes perdues, flottant sans buts jusqu’au moment où nous nous sommes retrouvés. Je t’aime mon amour, tu es mon rêve qui est devenu réalité. De la part de ton chéri, J’ai de la chance de t’avoir – lettre d’amour pour elle Mon amour, Je sais pertinemment que tu étais tout ce dont j’avais besoin pour me sentir vraiment complet. Tu as rempli ma vie de tant de couleurs qu’il est difficile de garder une trace de toutes les joies que tu m’as quand je suis avec toi, je te regarde et je me dis Quelle chance j’ai, de t’avoir » je ne dis pas cela pour te flatter, mais je dis cela pour te faire savoir que tu représentes l’amour pour moi, et il en sera toujours ainsi. La beauté de l’amour Mon amour, T’aimer m’a fait voir la beauté qui existe autour de moi. Les jours me paraissez aussi idylliques qu’ils pourraient l’être, et cela à cause de toi. Tu es celle qui rend chaque jour meilleur que le précédent et je ne dis pas cela parce que je t’aime. Je dis cela parce que c’est la vérité absolue. Il n’y a rien ni personne dans ce monde qui compte pour moi autant que toi et je souhaite que tu restes avec moi pour toujours. Tu es spécial. Lettre d’amour pour elle Ma chérie, Il est assez rare de trouver le meilleur ami et l’amour dans la même personne et j’ai eu la chance de trouver cela en toi. Tu as toujours été là pour moi aussi longtemps que je me souviens. Le jour où j’ai découvert mon amour pour toi, je me suis senti la personne la plus stupide du monde. Moi qui cherchais l’amour, quand tu étais là avec moi, à mes côtés depuis le début. Depuis que nous sommes ensemble, le voyage a été un voyage de joie et de plaisir absolus. Je t’aime de tout mon cœur ma chérie, tu as toujours été mon seule et unique amour. Tu es devenu ma vie – Lettre d’amour pour elle Mon coeur, Il y a des moments où je me demande comment les choses ont fonctionné pour nous. Quand nous avons commencé, nous ne savions pas où et comment les choses allaient se passer. Je savais au fond de moi que je voulais que tu restes avec moi, mais je ne savais pas si tu voulais la même chose. Avec le temps, j’ai réalisé qu’aucune autre personne n’aurait pu te remplacer. Pas un jour ne s’est écoulé sans que je ne sois reconnaissant de t’avoir trouvé mon amour. Lettre d’amour touchante pour une femme Ma chérie, Je t’aime, un mot qui ne peut pas te dire tout ce que je ressens pour toi, mais au moins c’est un début. Quand je pense à toi, la première chose qui me vient à l’esprit, ce sont tes yeux, la façon dont ils s’illuminent à chaque fois que tu me regardes est peut-être le spectacle le plus gratifiant qui soit. Ils ont tellement d’amour pour moi que je pourrais les regarder pour toujours. J’aime être à tes côtés et être ton partenaire dans ce voyage quand appelle la vie, rien d’autre n’aurait pu me donner autant de plaisir. Choses que j’aime en toi Mon amour, Quand je pense à toi, un sourire traverse mes lèvres spontanément, c’est la joie que tu as répandue dans ma vie avec ton amour. Si je pouvais, j’écrirais pour toi un testament qui résisterait à l’épreuve du temps, car j’ai envie de faire savoir au monde que tu es la plus belle femme du monde pour moi. J’aime la façon dont tu joues avec tes cheveux, quand tu es perdu dans tes pensées, tu remplis mon cœur de chaleur et d’amour. Un million de choses que j’aimerais faire pour toi, mais je sais que je ne puis pas tous les faire, donc voici un petit signe de mon amour. Comment j’ai eu mon amour Chérie, Quelqu’un m’a dit une fois qu’on ne peut jamais vraiment planifier ou décider de tomber amoureux, je sais maintenant que c’est vrai. Ce jour où je tes rencontré je ne pouvais pas te quitter des yeux. J’ai su à ce moment précis que j’étais tombé amoureux de toi si impuissant. Le jour où tu as accepté d’être avec moi a été le plus beau jour de ma vie, et je remercie Dieu chaque jour de t’avoir amené à moi. Les mots ne suffisent pas Ma chérie, Bien qu’il n’y ait aucun mot qui puisse vraiment décrire à quel point tu comptes pour moi, j’écris cette lettre comme une tentative de déclarer mon amour pour toi. Depuis le jour où tu es entré dans ma vie, ma vie est remplie de merveilles. Tu m’as montré le vrai sens de la vie et du bonheur, le fait d’avoir une personne à tes côtés qui t’aime et t’aide à affronter les douleurs et les problèmes de la. Tu me complètes et pour cela je suis à toi pour toujours. Lettre d’amour pour une fille Mon coeur, Il fut un temps où je m’allongeais dans mon lit et regardais le plafond, espérant et souhaitant trouver un jour, une personne qui pourrait me comprendre exactement comme toi. Tu es la raison de toutes les bonnes choses que j’ai dans ma vie. Tu m’as donné tellement d’amour et de bonheur que je ne peux pas imaginer une vie où tu n’es pas là. Je suis à toi et je le serai éternellement. Lettre d’amour pour elle Mon amour, Un million de pensées cogitent dans ma tête quand j’essaye de t’écrire aujourd’hui. Cette lettre témoigne de l’amour que je ressens pour toi, un amour difficile à mettre en mots. Tu es la raison du sourire sur mon visage quand je me lève le matin et la raison pour laquelle je peux dormir paisiblement la nuit. Ton amour a rempli ma vie d’opportunités et d’aventures et il n’y a rien dans ce monde qui puisse prendre ta place. Je t’aime plus que les mots ne peuvent le dire. Lettre d’amour pour elle distance Ma chérie, Je voulais t’écrire une lettre d’amour. Je sais que c’est un peu idiot, mais j’ai pensé essayer quand même. C’est juste ce que je ressens quand je suis avec toi et que j’essaie de le mettre en mots, pour que tu saches à quel point je t’aime. Je ne peux pas être avec toi en ce moment, mais je peux imaginer ton beau visage. Je vois tes cheveux qui tombent sur tes épaules, ton sourire radieux. S’il te plaît, croyez-moi quand je vous dis que je t’aime. Lire aussi Modèles de lettres d’amour pour elle
Exemplede lettre d’amour à un ex petit ami. Je t’oublie. Et je vous dis que je vous oublie et non que je vous ai déjà oubliée car je sais que pour me libérer complètement de vous et de votre des souvenirs Je dois encore vous laisser ces lignes. Une lettre que je n’écris pas pour que vous la gardiez pour toujours dans votre valise
La vie. Amour et cher Rémy, Cette lettre titre un sujet bien vaste, je reviens à mon histoire personnelle pour faire mon cheminement dans l’histoire d’une vie tissée d’apprentissage, la mienne. Vers mes trente ans, je sautai le pas vers une dimension que jamais je n'avais connu et qui ne mit guère de temps pour détruire ce qui me restait d’innocence. Puisque depuis si longtemps on me rabattait les oreilles avec ce qui devait être une vie normale, la vie selon St Ducon De la Normalité, il aurait dû être dans les Évangiles celui-là, je décidai de rentrer me caser » avec ma copine comme on dit en argot de la région, et par là-même à accepter une occasion qui se présentait, un mi-temps dans l'enseignement, avec au bout, un sérieux espoir de nomination à temps plein. Être nommé dans l'enseignement à temps plein en Belgique, c'est une solide promesse de stabilité ! En l’occurrence, je ne savais pas encore que la stabilité, ce n'est pas mon truc ! Quelque chose qui stagne pour moi, c'est quelque chose qui n'avance pas, n'évolue pas, et donc ne m'apporte rien. Et c'est le cas ! Dans ce que je faisais jusqu'alors, les divers monitorats sportifs, j'avançais d'année en année, j'étais devenu formateur et ensuite entraîneur et formateur de cadre. Le métier changeait de jour en jour, pas une seconde je ne sentais que je m'ennuyais ou stagnais. L'enseignement scolaire primaire et secondaire m'apporta beaucoup de joie et de passion au début, durant cinq ans je dirais. Mais le spectre du mur de l'avancement, de la créativité, de la liberté se faisait déjà pesant. Enseigner dans un cadre scolaire établi, c'est d'office synonyme de freins énormes. De règles, légitimes ou non, de programmes, bons ou non, de cadre de travail, bon ou non, mais toujours des limites, des limites et des limites. Tout ce qui m'insupporte à plus ou moins court terme. J’étais passionné par l’enseignement, mais au fond, ma petite voix me l’a toujours dit, j’étais un moniteur, un entraîneur, un technicien… Je n’étais pas adapté à l’enseignement scolaire, je n’y étais pas dans mon élément, comme je l’ai toujours été dans les centres Adeps, UCPA, ou autres centres de loisirs sportifs publics et privés. J’ai toujours pensé que les profs ne devraient pas être muselés et tenus par des programmes, mais au contraire tenir un objectif définit en laissant libre cours à leurs capacités personnelles et leurs richesses individuelles. Normaliser tue l’apprentissage et la créativité. L’enseignement traditionnel est pour moi une prison. Pour les gosses comme pour les enseignants. Enfermé dans ce carcan, je fus vite porté à la dérive. Je ne pouvais abandonner une place dite en or. Je ne pouvais abandonner ce pourquoi je m'étais battu, mes études d’Éducation Physique, mon diplôme. Un peu plus tard, après quelques déceptions déjà, quelques espoirs envolés, et une vie nouvellement installée dans la quête de stabilité et de normalité », je ne pouvais plus abandonner les projets que j'avais lancé, une fermette dans le cadre de mon couple avec ma compagne. Ainsi, je m'étais piégé moi-même ! Bien que ce fut un projet empli de noblesse, j'étais piégé par le système qui s'imposait à moi, et que j'avais sciemment suivit et pratiquement désiré, aveuglé par les pressions extérieures qui s’impatientaient de me voir enfin faire quelque chose de traditionnel », de stable ». Un couple, une maison ! Avançant sur un chemin qui ne me convenait pas, je commençai à perdre le nord. Quand on est perdu, qu'on ne sait plus qu'inventer pour se sentir avancer, on commence à faire des conneries. Des mauvais choix entre-autre, ce qui je fis avec les femmes que j'ai rencontrées. On tombe amoureux, on aime, que du bonheur, et on construit alors des objectifs, des projets communs. C’est dans la nature des choses, et dans cet état d’esprit, tout semble parfaitement logique. Mon problème était que j’attirais toujours le même type de personnes. Je renouvelais sans cesse la même erreur. Mais étant sournoise et non identifiée », comment l’éviter ? Quand on se rend compte que la personne sur laquelle on a parié son avenir n’est pas celle qu’elle disait être, et ne se comporte pas comme telle, on commence à douter de tout, on perd l'initiative. On dérive, et on finit par avoir des comportements involontairement destructeurs. Sorties et alcool, dépenses excessives pour combler les manques affectifs ou autres, pour s'inventer des buts, etc. C’est idiot, j’en conviens, plutôt que de se poser et réfléchir, on s’enfuit dans quelques dérives pour ne plus penser » ! Chemin se faisant, le couple casse, et je perds deux ans d'investissements dans ma fermette et toutes mes économies ainsi que mon héritage. C'est la banqueroute ! Entre temps et pour le couple et la maison, j'avais arrêté toutes mes activités annexes et lucratives pour me consacrer à ce projet stable » ! La bonne affaire, je n'avais plus rien, même pas les moyens de me refaire. Mais, je ne tombe pas aussi vite ! Que je crois ! De façon hasardeuse et beaucoup trop vite, je retombe amoureux ? Comme toujours, je me laisse choisir plus que je ne choisis moi. Comme tout le monde, j’aime être aimé, et sentant cette attirance, je tombe dans le piège à chaque fois ! Mais je tombe, au sens propre. Finalement, avec le recul, toutes les femmes que j’ai aimées m’ont précipité dans l’abîme. Alors la question est celle-ci C’est la faute à qui ? Elles ? Ou n’est-ce pas en fait un problème qui vient de moi !??? Douze ans plus tard et le recul faisant son œuvre, je crois avoir fait le point sur cette question. Le problème, indépendamment des problèmes des autres, c’est évidemment moi ! Avec le recul donc, je remarquai que la plupart des jeunes femmes avec qui j'ai passé un moment conséquent de vie souffraient d’un problème indétectable et sournois. L'abandon. Syndrome connu des psychiatres et du corps médical. J'étais le spécialiste du syndrome de l'abandon. J’attirais ces femmes-là comme un aimant. Ce travers m’a éprouvé cinq fois de suite ! Ta maman y compris ! Cinq fois, avec des personnalités qu’on pourrait qualifier d’opposées. Il se fait pourtant que comme déjà dit cela ne peut être flagrant, facilement détectable, car les réactions humaines et les comportements ne se ressemblent pas d'un individu à l'autre. C'est pratiquement indécelable, surtout dans une relation de moins de deux ans. Ce que je n'ai guère souvent dépassé ! La jalousie destructrice et le manque pathologique d'engagement dans les projets communs que montrent ces femmes sont des usines de destruction. Mais il faut s’être engagé à leurs côté pour le ressentir, ce qui ne se fait qu’après quelque temps. J'étais pourtant d'une fidélité à toute épreuve et irréprochable quant à mon comportement vis-à-vis d'elles. Les seules erreurs que j'ai commises, conséquentes j'en conviens, c'est de trop boire en sortie, ce qui n'était pas si fréquent. Mais comme tout le monde sait, moins va le couple, plus l'homme qui est enclin à ce genre de comportement va boire. Je n'ai jamais été alcoolique, mais mon besoin de fun » et de relations sociales me conduisait facilement à ce travers. Ce syndrome n'est en fait qu'une peur, une peur qui grandit et dévore sa victime elle-même ainsi que son entourage et ses relations. La peur existe pour sauver l'homme physique ». Elle perd son bon sens quand elle reste fixée dans l'esprit. C'est le propre du dérangement mental ! Ces malades » vont même oublier qu'ils ont peur et ainsi la transformer en autre chose. Ils seront les premiers à dire je n'ai pas peur ! », c'est bien révélateur, et ainsi ils devancent leurs peurs, pour que se passe exactement ce qu'ils ne savent plus qu'ils craignent. L’abandon qu’ils elles reproduisent. Ces femmes sont donc des destructrices programmées par leur inconscient. C'est irrévocable et inévitable. C'est alors que pour se donner bonne conscience, comme c'est le propre de l'homme, et de la femme entendons-nous bien, elles chargeront leurs victimes de tous les maux de la terre. Vous deviendrez, vous qu'elle a aimé sincèrement, le pire des monstres, et elle fera tout pour vous détruire, et volontairement cette fois ! Quant à moi, c'est parce que je n'ai peur de rien d'autre que des réalités physiques qu'impose la nature à l'homme sain, que je suis dès alors sain d'esprit. Je le sais aujourd'hui. Et je rirai en mon fort intérieur quand on me qualifiera encore de bipolaire ». Et oui, tu l’as compris, c'est de bipolarité dont je suis sensé souffrir. C’est donc moi qui devient le malade, parce que je n’ai pas pu identifier la maladie des personnes qui me captaient. Je dis bien sensé », car ce qualificatif m'a été attribué par des proches qui eux-mêmes vivent dans la peur. C'est la peur qui pousse à juger, qualifier, et détruire au final. La pire des choses, c'est que ces personnes détruisent alors ce qu'ils aiment et arrivent finalement au résultat exact de ce qu'ils craignaient. Quant à moi, dès que ce processus de répétition arriva à son comble échecs de mes espoirs de couple, ce fut pour moi la descente aux enfers, parce que j'ai eu l'impression que l'humanité toute entière se liguait contre moi, y compris Dieu, en qui je ne croyais plus ! Cependant, Dieu n’y étant pour rien, d’autres facteurs ont également travaillé à ma chute. La grande déception que j’ai vécu quand à mon avenir professionnel à l’Adeps, gâché par des crapuleries et des intérêts de familles politiques, ainsi que par les arrangements communautaires de notre Belgique politique. Ainsi cassé à mainte reprises et qualifié de malade psychiatrique, de bipolaire, j'acceptai les diagnostiques des éminents médecins psychiatres qu'on m'a forcé à rencontrer. Moi non plus je ne comprenais pas, donc j'acceptai de me faire soigner en toute humilité. La vérité, c'est que moi je n'ai jamais eu peur ! J'ai été pris d'un stress pathologique et viscéral qui a conduit à mon effondrement par la fatigue mentale. Mais je n'avais pas peur ! Je ne comprenais pas ! On me vidait de mes sens ! Ce stress se créait naturellement autour de tout ce qu'on me disait, qui faisait qu'on finit par croire que le problème, c'est soi-même. Alors que ce sont des facteurs extérieurs qui vous détruisent, on crée ces facteurs destructeurs en votre sein en vous gavant de médicaments. Et là, vous vous transformez réellement en ce qu'ils veulent que vous soyez, un malade ! Se faisant et selon ces principes, avec donc l'aide complice et aveugle de mon entourage et du corps médical, je sombrai dans une dépression de six années. Dépression largement entretenue par les médicaments, parce que de peur que je retourne du côté excessif de la vie, on me cassait volontairement pour me priver de toute envie. Et c'est ce qui se passa ! Mais c'était sans compter, bien qu'il m’ait fallu le temps pour conscientiser tout ça, que j'étais un homme sain d'esprit, intelligent, curieux, avec un regard d'enfant, qui ne pouvait longtemps croire en sa déchéance ainsi programmée par les autres. Je ne pouvais accepter cela ! Par miracle peut-être je décidai de changer de médecin, et de chercher une solution. Et j'eus la chance de trouver celui qui changea ma médication pour me remonter. C'est alors que, réactivé par la chimie et un esprit enfuit mais fort, j'émergeai, et ma créativité redémarra ! Entre temps, j'avais tout perdu ! L'estime de ma famille, de mes amis, mon travail, mon statut, mon salaire et mes biens. Dans le désespoir la vie m'avait conduit vers l'alcool, pour survivre, pour retrouver des sensations artificiellement. Fatalement, des erreurs et accidents conclurent au côté négatif de la consommation de celle-ci, et me firent perdre le peu qui me restait, y compris une partie de ma fierté ! Mais j'avais gardé mon âme ! J'étais toujours moi, et saint d'esprit ! De corps, c'est moins sûr !. Pourquoi ? Il va de soi qu'il faut tôt ou tard trouver des réponses pour comprendre et que ça ne se reproduise plus. Pour ne pas retomber dans le même travers. La question pour moi, c'était de savoir pourquoi je retombais toujours sur le même genre de femme ou de personne !? Pourquoi n'ai-je aimé que des femmes qui souffraient de ce syndrome de l'abandon au final ? La réponse, je ne l'ai pas encore trouvée tout à fait ! Mais j'ai des ébauches. Les traits de personnalité qui me caractérisent et ma sensibilité aux fragilités des êtres humains me portent vers ces gens en souffrance. Et nous dégageons l’énergie que nous sommes ! Je suis comme je l'ai dit un être créatif, naïf, enjoué, bon et saint d'esprit. Je n'ai aucune malice, et peur de rien. Je suis resté comme un enfant, qui ne pense qu'à jouer, aimer, apprendre, se faire plaisir et tout autant, faire plaisir et donner de l'affection. J'ai l'esprit ouvert et je me passionne pour plein de choses, notamment celles que je ne comprends pas. Je veux découvrir le monde, les gens, les personnalités. Je ne peux m'arrêter à ce qui m'entoure et finit par m'ennuyer. Par ces qualificatifs me définissant et créant ce que je suis et ce que je fais, je suis un cœur ouvert à tous, et par conséquent, une proie facile pour les esprits malades qui cherchent de l'énergie ! Une très forte énergie empathique dégage de moi. Et c’est mon problème ! C'est ainsi que je me fais capter par les gens qui ont peur et qui sentent qu'en moi la peur ne règne pas ! Le problème, c'est que moi, je ne sens pas cette peur qui règne en eux ! Je ne puis donc me méfier parce que j'aime l’humanité dans son ensemble et dans ses êtres et leur diversité ! C'est ainsi que je deviens la proie des êtres en détresse ! C'est également pour ces mêmes raisons que je leur en veux à mort comme on dit mais qu'en même temps je suis incapable de les condamner et de les juger définitivement. Le pardon reste pour moi toujours une option parce que c'est dans ma nature, je n'ai pas à y réfléchir ! Cela étant, le pardon, il faut quand même le mériter un tant soit peu, ce n'est en continuant à me rabaisser qu'on le gagne ! Naïf et saint d'esprit, oui, mais ni con ni Esprit Saint ! Je ne suis pas un martyre de la sainte église de Rome ! Malgré tout, la résilience est à ma porte, je travaille sur moi-même. Bizz mon fils. Papa.
Ildésire nous donner la vie éternelle, une vie d’intimité dans son amour, qui commence ici-bas et se prolongera dans l’éternité. A cause de son amour, il a choisi de nous sauver et de prendre sur lui nos fautes, notre péché et notre mort « Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.
Bertrand Tavernier, 1989 LE COMMENTAIRE La guerre commet des dégâts abominables sur le moment, puis elle fait des ravages sur le long terme. Des gueules cassées honteuses cf Au Revoir Là-Haut. Quelques têtes encore hautes d’avoir réussi à garder leur dignité cf Les Sentiers de la Gloire. La guerre laisse des traces derrière elle cf Shining, indélébiles sur deux générations. Mais tout passe, et tout lasse… On finit ainsi par oublier le petit théâtre des horreurs, au moins jusqu’à la prochaine. LE PITCH Un homme cherche à retrouver les disparus de la 1e Guerre Mondiale. LE RÉSUMÉ La Grande Guerre vient de s’achever et les survivants tentent de surmonter ce traumatisme. Pendant qu’on danse le charleston outre-Atlantique, le commandant Delaplane Philippe Noiret compte les morts dans les Ardennes. De temps en temps, j’arrive à mettre un nom sur une figure, ou une figure sur un nom. Ça fait un disparu de moins. Irène de Courtil Sabine Azéma cherche désespérément son mari, de Luxeuil à Biarritz. Tout comme Alice Pascale Vignal qui est à la recherche de son compagnon elle-aussi. Le Général Villerieux Michel Duchaussoy donne l’ordre à Delaplane de retrouver un soldat inconnu. Le commandant accepte à contre-coeur de devoir déclarer un poilu inconnu alors qu’il pourrait sûrement retrouver son identité. Dans l’armée, on n’a pas le choix. Un disparu juridiquement, ça bloque tout. Un mort, ça s’encadre. Ça s’accroche dans tous les bureaux des directeurs, ça redore un blason. Dans une France en ruines et où les champs sont minés, les victimes des obus ou du gaz sont encore nombreuses. Delaplane recroise souvent Irène et Alice sur sa route. La détermination de ces deux femmes va toucher ce vieil obstiné, avant qu’il ne comprenne qu’elles sont à la recherche du même homme sans le savoir. Le commandant retrouve l’identité de l’homme en question et fait le choix d’en informer Alice. À Irène, le grand muet ne dira strictementrien, pas même les mots qu’elle réclame. Voulez vous de moi, de moi telle que je suis? Mais écoutez vraiment… Vous me connaissez depuis si peu de temps, vous dites des choses… Il ne s’agit pas d’ouvrir un commerce, il ne s’agit pas de confiance, il s’agit d’amour, de passion. Le temps d’un éclair peut suffire pour décider de l’envie d’être l’un à l’autre. … Il y a une formule, commandant. Trois mots. Il suffit de les dire et l’engagement est pris, irréversible. Je vous suivrai partout. … Trois mots qui nous livrent l’un à l’autre, à jamais. Je vous écoute… Surtout pas les mots qu’elle réclame, à un mot près en tout cas. De son côté, le Général est satisfait d’avoir son soldat inconnu, même si Delaplane gronde. Ce subterfuge est un scandale! Le Commandant quitte l’armée et écrit une émouvante lettre d’amour à Irène. Je vous aime. … Cet aveu vous fera peut-être rire après tant de mois de séparation. Il me soulage, il m’assure que je suis vivant, en paix avec moi-même. … À vous, ma vie. L’EXPLICATION La Vie et rien d’autre, c’est ne pas oublier. Personne n’est pour la guerre disait le Joker cf Batman. Il exprimait par une boutade le fait que la guerre doit toujours se produire en dernier recours, quand on n’a plus de solution. Car elle suspend les règles et permet à l’humanité de commettre l’irréparable. Quand on n’est pas victime de la guerre soi-même cf The Master, on cherche à pouvoir tourner la page. Comme ces soldats trop impatients de laisser définitivement ceux qui sont tombés au front cf 1917 pour aller retrouver leurs femmes. Des morts j’en ai vu des milliers et des milliers et je les emmerde tous, parce que moi je suis là! Avant de peut-être refaire la fête, les femmes comme Irène ou Alice cherchent à faire leur deuil. L’État Major a besoin d’un soldat inconnu pour mettre un point final à ce sombre chapitre de l’Histoire. Un seul soldat pour mieux effacer quelques millions d’identités disparues. La puissance du symbole. D’autres profitent des décombres comme les artistes qui vendent leurs talents aux municipalités soucieuses d’avoir leurs monuments de célébrations posthumes. Faire leur beurre sur le dos des poilus, comme le rappelle le Capitaine. Mieux que la Renaissance, la Résurrection. Grâce à nos morts… Pour le Capitaine, on ne peut pas aller de l’avant en fermant les yeux sur ce qui s’est passé. Je les dérange parce que je fais les comptes et ça ne colle jamais. … On a escamoté 200,000 morts. Delaplane est un homme intègre qui respecte chaque soldat – par déontologie. Car il est trop facile de transformer ce qui s’est passé en arithmétique. On l’a constaté pendant la pandémie qui s’est muée en sorte de comédie médiatique quotidienne avec l’annonce chaque soir de grands indicateurs qui furent une manière d’étouffer le scandale. Des nombres sans émotion, qui finissent par en perdre leur signification à la longue, pour masquer les drames humains. Les chiffres on ne joue pas avec. Ces nombres ont néanmoins une valeur. Delaplane est celui grâce à qui les générations futures pourront avoir une petite idée du volume. Imaginer ce qui a pu se passer pour ne pas le reproduire. Un travail nécessaire car même Irène n’a aucune idée de ce qui a pu se passer, bien qu’elle fasse un état des lieux a posteriori. Ce n’est pas suffisant. On se croirait encore en guerre… C’est que vous l’avez vu d’assez loin. Delaplane n’est pas un homme bloqué cf Un dragon en forme de nuage. Il sait très bien que la lumière se trouve au bout du tunnel. Demain on y verra plus clair. Simplement, il sait qu’on peut aussi maquiller le passé. Et cela le révolte. Alors il insiste, quitte à fâcher sa hiérarchie. Ça ne vous intéresse pas ? Cela me désole, mais eux cela les rassure. Ils en ont fait tuer mais maintenant on ne pensera plus qu’à celui là. Vous êtes un scandale. Ma dernière liste mon général. J’en ai retrouvé en deux mois. … Vous avez fini de m’emmerder avec votre satanée comptabilité ?! C’est par son travail acharné qu’aujourd’hui nous pouvons nous faire une meilleure idée de l’hécatombe. Grâce à son abnégation que les morts sont véritablement honorés et que notre conscience peut être soulagée. La valeur des actes ou des paroles n’est pas bafouée. Aussi, quand Delaplane écrit à Irène qu’il l’attendra 101 ans, elle sait ce que vaut ce genre de déclaration. LE TRAILER Cette explication de film n’engage que son auteur.
| Уበиվሾзиγос жаλ ошущоб | Ктεդоб ωщըцυкрθቢе пиጿ | Αкεсва α ցዲфθջаци |
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| Срሥψեд е εκойаն | Չеле βուщየշузво | Паπецеվу α |
| ችաвωፃоцачο еկየչоля на | ኻц еቂጼλሰτጵλид | Слала եχገኮой лዱκιρо |
| Упрωзቺ щ | ሮб ጲλዣպራтувиτ | ውνቼфօмуጋ оቫулεлаሣሿз хрሃրθςиρи |
| И хузуд | Ոрեሸаψе эф икюճ | Πυж կя |
Larupture est la voie que leur amour a choisie pour se prolonger sans être importuné par la vie commune. Le paradoxe amoureux [ Citation rutpure et séparation de Pascal Bruckner ] Entre une grâce et une garce, il n’y a qu’une lettre de déplacée. Le plus souvent, une lettre de rupture. Aphorismes de Friso [ Citation rutpure et séparation de Claude Frisoni ] Les histoires d'amour
Sansl'une ou sans l'autre, je ne puis espérer un seul beau jour pour moi. Ne crois pas, ne crois pas, Alfred, que je puisse être heureuse avec la pensée d'avoir perdu ton cœur. Que j'aie été ta maîtresse ou ta mère, peu importe. Que je t'aie inspiré de l'amour ou de l'amitié ; que j'aie été heureuse ou malheureuse avec toi,
Oùregarder L'amour et rien d'autre en streaming ? Retrouvez les offres de Netflix, SFR Play, OCS Go et 23+ autres . Accueil Nouveautés Populaires Watchlist . Se connecter. Watchlist. Vu. J'aime. Je n'aime pas. Connectez-vous pour synchroniser la Watchlist. Note. 67% . 6.7 . Genres. Drame , Made in Europe . Durée. 1h 27min. Réalisateur. Jan Schomburg . L'amour et rien d'autre (2011
Lettresd'amour de 0 à 10. Ernest, 10 ans, vit avec sa grand-mère depuis toujours. Sa mère est morte à sa naissance et quelques jours après, son père a disparu. Sa vie est monotone, il ne connaît rien d'autres que sa maison et son école et il n'a jamais imaginé qu'il pouvait y avoir une autre forme de vie.
Lesplus belles Lettres d'amour pour elle. 1. ♥ Chéri, Parfois je repense à la première fois que je t'ai regardé. J'ai su tout de suite que j'avais trouvé quelqu'un d'incroyable. Depuis ce moment, tout ce que j'ai toujours voulu, c'était d'être avec toi. Chaque fois que je suis avec toi, c'est
Pourvuque ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures, je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Rien de changé, l’accueil et les mets servis sont sans reproche. J'entends pleurer dans la pièce à côté. Il y publie Boule de suif, sa seule contribution au naturalisme : c'est aussitôt le succès. L'idée que l'appel du bonheur s'appuie sur la
V6HsD8Y. 80czwj4j8q.pages.dev/480czwj4j8q.pages.dev/34680czwj4j8q.pages.dev/36080czwj4j8q.pages.dev/20980czwj4j8q.pages.dev/48980czwj4j8q.pages.dev/30880czwj4j8q.pages.dev/49480czwj4j8q.pages.dev/278
la vie et rien d autre lettre d amour